
DIALOGUES DES CARMELITES
Saint-Etienne
mars 2017
-Marie Kalinine est peut-être la meilleure Mère Marie qu’on a jamais entendu sur scène. La beauté de son visage, enserré dans sa capuche de nonne, son port altier, sa définition du personnage, bouffi d’orgueil et empli d’une dévotion aveugle, donnent une formidable épaisseur à un caractère si souvent présenté comme monolithique et dur, celui de la « méchante » de service, ce qu’elle n’est pas. (Catherine Scholler, Resmusica)
-Bien loin des mezzos en fin de carrière auxquelles on donne souvent le rôle, Marie Kalinine chante Mère Marie avec toute l'impétuosité de sa jeunesse, et de ses conséquents moyens vocaux, rendant par ailleurs, scéniquement parlant, toute la fierté et la rigidité du personnage. (Emmanuel Andrieu, opera-online)
-Tout en endossant avec talent l’exigence et l’apparente sévérité de son personnage, Marie Kalinine est en définitive une Mère Marie très humaine, révélant d’une certaine manière les sentiments qu’elle tente de dissimuler, plus douce que ce qu’en disait Poulenc, qui la jugeait « très sèche » et « d’une dureté incroyable ». (Fabrice Malkani, Forum Opéra)
-Les personnages sont fouillés, Jean-Louis Pichon mettant à jour les caprices de l’âme. Ainsi de Mère Marie, plus ambivalente que d’ordinaire, chez qui la crainte de la hiérarchie et la crainte de Dieu se mêlent, témoignant d’une forme de fragilité autant que de son orgueil (« Ttenez-vous fière »). Voix chaude, expressivité et aigus assurés, Marie Kalinine campe idéalement ce trouble, qui rend le personnage digne lorsqu’il apparaît souvent détestable. (Guy Cherqui, Wanderer)
-Mère Marie prend les traits de Marie Kalinine, très à l’aise dans ce rôle. Sa voix profonde et riche s’allonge parfois, laissant entendre un vibrato délicat. Son jeu montre la complexité de la religieuse, à la fois solide dans ses convictions et flexible dans leur concrétisation. (Damien Dutilleul, Olyrix)
-Mère Marie autoritaire mais sans dureté, Marie Kalinine se tire avec les honneurs de cette tessiture impossible, dardant notamment d’impressionnants aigus. (Classiquenews)
Saint-Etienne
mars 2017
-Marie Kalinine est peut-être la meilleure Mère Marie qu’on a jamais entendu sur scène. La beauté de son visage, enserré dans sa capuche de nonne, son port altier, sa définition du personnage, bouffi d’orgueil et empli d’une dévotion aveugle, donnent une formidable épaisseur à un caractère si souvent présenté comme monolithique et dur, celui de la « méchante » de service, ce qu’elle n’est pas. (Catherine Scholler, Resmusica)
-Bien loin des mezzos en fin de carrière auxquelles on donne souvent le rôle, Marie Kalinine chante Mère Marie avec toute l'impétuosité de sa jeunesse, et de ses conséquents moyens vocaux, rendant par ailleurs, scéniquement parlant, toute la fierté et la rigidité du personnage. (Emmanuel Andrieu, opera-online)
-Tout en endossant avec talent l’exigence et l’apparente sévérité de son personnage, Marie Kalinine est en définitive une Mère Marie très humaine, révélant d’une certaine manière les sentiments qu’elle tente de dissimuler, plus douce que ce qu’en disait Poulenc, qui la jugeait « très sèche » et « d’une dureté incroyable ». (Fabrice Malkani, Forum Opéra)
-Les personnages sont fouillés, Jean-Louis Pichon mettant à jour les caprices de l’âme. Ainsi de Mère Marie, plus ambivalente que d’ordinaire, chez qui la crainte de la hiérarchie et la crainte de Dieu se mêlent, témoignant d’une forme de fragilité autant que de son orgueil (« Ttenez-vous fière »). Voix chaude, expressivité et aigus assurés, Marie Kalinine campe idéalement ce trouble, qui rend le personnage digne lorsqu’il apparaît souvent détestable. (Guy Cherqui, Wanderer)
-Mère Marie prend les traits de Marie Kalinine, très à l’aise dans ce rôle. Sa voix profonde et riche s’allonge parfois, laissant entendre un vibrato délicat. Son jeu montre la complexité de la religieuse, à la fois solide dans ses convictions et flexible dans leur concrétisation. (Damien Dutilleul, Olyrix)
-Mère Marie autoritaire mais sans dureté, Marie Kalinine se tire avec les honneurs de cette tessiture impossible, dardant notamment d’impressionnants aigus. (Classiquenews)

CARMEN
Marseille, dir. Jacques Chalmeau, m. sc. Richard Martin
juin 2016
-Digne objet de ses vœux, allure, figure, jeunesse, Marie Kalinine, dans la tradition dépoussiérée par les grandes interprètes espagnoles du rôle comme Los Ángeles ou Berganza, est une Carmen de grande classe, non de classe supérieure aristocratique, mais de la noblesse innée gitane, ouvrière, cigarière, contrebandière, mais en rien roturière ou ordurière, ce n'est pas une cagole marseillaise. Comme dans Mérimée, elle se fera castagnettes des débris d'une assiette qu'elle casse pour accompagner sa danse, et qu'elle rejette ensuite avec dédain. Carmen, en latin et en espagnol signifie 'charme', sortilège : elle est l'intelligence de la femme qui toujours fut suspecte, d'Ève aux sorcières auxquelles l'assimile d'emblée le timoré Don José pour se justifier et s'innocenter de sa folle passion. Velouté coloré de la voix, grave profond sans effet vulgaire de poitrine, elle joint, à l'élégance de la silhouette celle du timbre d'une voix aisée sur toute la tessiture, un jeu tout en finesse, sans effet, qui rend plus terrible, celui comme un coup de poignard qu'elle assène à José d'un murmure cruel : « Non, je ne t'aime plus», allant au devant de son suicide. (Benito Pellegrin, "Les chroniques de Benito Pellegrin")
-Marie Kalinine est une Carmen de rêve. Actrice accomplie, diction impeccable, ces talents de comédienne s’allient à un timbre de mezzo-soprano aux multiples ressources. Toute en fièvre et en rébellion, elle fait sienne cette femme qui veut vivre sa vie et non celle que lui impose la société des hommes. (Pascale Marchesi, arts-spectacles.com)
-Magnifiquement incarnée par Marie Kalinine, venimeuse dans l’injure, éblouissante dans le jeu théâtral comme dans la séduction, on comprend qu’être aimé de Carmen est un absolu après quoi il ne saurait y avoir d’autre jouissance que la mort. (Jean Barak, envrak.fr)
-Marie Kalinine est une gitane exemplaire tant par la voix que par le jeu. Sans outrance ni vulgarité, elle dessine une femme de caractère avec un chant au mezzo profond tout à fait séduisant. (Patrick di Maria, La Marseillaise)
-Marie Kalinine (mezzo-soprano) campe une Carmen bohémienne et princesse, fière rebelle, indépendante jusqu’à l’ultime défi à la mort. Sa voix cristalline transcende la force de son destin et subjugue Don José incarné par un Luca Lombardo solaire. (Pascale Robyn, Performarts.net)
-Les chanteurs lyriques Marie Kalinine, jouant une Carmen délicieuse et Luca Lombardo, interprétant Don José ont ébloui le public par leur art virtuose, d’une qualité exceptionnelle, tout comme le reste de la troupe. (Francenetinfos)
Marseille, dir. Jacques Chalmeau, m. sc. Richard Martin
juin 2016
-Digne objet de ses vœux, allure, figure, jeunesse, Marie Kalinine, dans la tradition dépoussiérée par les grandes interprètes espagnoles du rôle comme Los Ángeles ou Berganza, est une Carmen de grande classe, non de classe supérieure aristocratique, mais de la noblesse innée gitane, ouvrière, cigarière, contrebandière, mais en rien roturière ou ordurière, ce n'est pas une cagole marseillaise. Comme dans Mérimée, elle se fera castagnettes des débris d'une assiette qu'elle casse pour accompagner sa danse, et qu'elle rejette ensuite avec dédain. Carmen, en latin et en espagnol signifie 'charme', sortilège : elle est l'intelligence de la femme qui toujours fut suspecte, d'Ève aux sorcières auxquelles l'assimile d'emblée le timoré Don José pour se justifier et s'innocenter de sa folle passion. Velouté coloré de la voix, grave profond sans effet vulgaire de poitrine, elle joint, à l'élégance de la silhouette celle du timbre d'une voix aisée sur toute la tessiture, un jeu tout en finesse, sans effet, qui rend plus terrible, celui comme un coup de poignard qu'elle assène à José d'un murmure cruel : « Non, je ne t'aime plus», allant au devant de son suicide. (Benito Pellegrin, "Les chroniques de Benito Pellegrin")
-Marie Kalinine est une Carmen de rêve. Actrice accomplie, diction impeccable, ces talents de comédienne s’allient à un timbre de mezzo-soprano aux multiples ressources. Toute en fièvre et en rébellion, elle fait sienne cette femme qui veut vivre sa vie et non celle que lui impose la société des hommes. (Pascale Marchesi, arts-spectacles.com)
-Magnifiquement incarnée par Marie Kalinine, venimeuse dans l’injure, éblouissante dans le jeu théâtral comme dans la séduction, on comprend qu’être aimé de Carmen est un absolu après quoi il ne saurait y avoir d’autre jouissance que la mort. (Jean Barak, envrak.fr)
-Marie Kalinine est une gitane exemplaire tant par la voix que par le jeu. Sans outrance ni vulgarité, elle dessine une femme de caractère avec un chant au mezzo profond tout à fait séduisant. (Patrick di Maria, La Marseillaise)
-Marie Kalinine (mezzo-soprano) campe une Carmen bohémienne et princesse, fière rebelle, indépendante jusqu’à l’ultime défi à la mort. Sa voix cristalline transcende la force de son destin et subjugue Don José incarné par un Luca Lombardo solaire. (Pascale Robyn, Performarts.net)
-Les chanteurs lyriques Marie Kalinine, jouant une Carmen délicieuse et Luca Lombardo, interprétant Don José ont ébloui le public par leur art virtuose, d’une qualité exceptionnelle, tout comme le reste de la troupe. (Francenetinfos)

LE ROI D'YS
Opéra de Saint Etienne, dir. José-Luis Dominguez, m.sc. Jean-Louis Pichon
mars 2016
-Marie Kalinine a souvent incarné les femmes méchantes et fatales et se montre donc tout à fait à l’aise avec Margared, l’héroïne perfide et torturée dont elle possède l’exacte pointure de soprano dramatique à la française, sans jamais donner dans la noirceur vulgaire et vociférante, car son chant reste châtié. Son style sobre est celui d’une grande et noble tragédienne. (Jacques Bonnaure, Opéra Magazine)
-Prise de rôle également pour Marie Kalinine – dont on se souvient, in loco, de la formidable Santuzza – qui réussit l’exploit d’incarner une incandescente Margared, en se jouant de cette tessiture particulièrement meurtrière. La mezzo française possède le rayonnement naturel qu’exige cette Ortrud bretonne, à qui elle prête son émission volcanique et ses aigus fulgurants, surtout dans l’air du II « De tous côtés ». (Emmanuel Andrieu, La lettre du musicien)
-Le tempérament dramatique de Marie Kalinine lui permet de se fondre avec talent dans le personnage de Margared, donnant aux notes graves une belle couleur sombre tout en assurant sans faillir les aigus liés à la palette des affects qui la submergent – frustration, amour, jalousie, haine. (Fabrice Malkani, Forumopéra)
-Marie Kalinine préserve son personnage de la caricature vocale et théâtrale où il pourrait facilement s’abîmer. Loin d’alourdir la couleur de son matériau, elle en exsude les ressources monochromatiques pour esquisser les remords de la princesse, sans altérer la cohérence de sa typologie psychologique. (Gilles Charlassier, Concertonet)
-Marie Kalinine est Margared, la malheureuse soeur qui, dévorée par la jalousie et la vengeance, sombre du « côté obscur » avant de se sacrifier dans un ultime geste de repentance. Le jeu est ici moins naturel que chez ses collègues, les médiums sont tout à fait stables [...], tandis que les graves donnent à entendre une belle teinte ambrée. (Elodie Martinez, Toute la culture)
Opéra de Saint Etienne, dir. José-Luis Dominguez, m.sc. Jean-Louis Pichon
mars 2016
-Marie Kalinine a souvent incarné les femmes méchantes et fatales et se montre donc tout à fait à l’aise avec Margared, l’héroïne perfide et torturée dont elle possède l’exacte pointure de soprano dramatique à la française, sans jamais donner dans la noirceur vulgaire et vociférante, car son chant reste châtié. Son style sobre est celui d’une grande et noble tragédienne. (Jacques Bonnaure, Opéra Magazine)
-Prise de rôle également pour Marie Kalinine – dont on se souvient, in loco, de la formidable Santuzza – qui réussit l’exploit d’incarner une incandescente Margared, en se jouant de cette tessiture particulièrement meurtrière. La mezzo française possède le rayonnement naturel qu’exige cette Ortrud bretonne, à qui elle prête son émission volcanique et ses aigus fulgurants, surtout dans l’air du II « De tous côtés ». (Emmanuel Andrieu, La lettre du musicien)
-Le tempérament dramatique de Marie Kalinine lui permet de se fondre avec talent dans le personnage de Margared, donnant aux notes graves une belle couleur sombre tout en assurant sans faillir les aigus liés à la palette des affects qui la submergent – frustration, amour, jalousie, haine. (Fabrice Malkani, Forumopéra)
-Marie Kalinine préserve son personnage de la caricature vocale et théâtrale où il pourrait facilement s’abîmer. Loin d’alourdir la couleur de son matériau, elle en exsude les ressources monochromatiques pour esquisser les remords de la princesse, sans altérer la cohérence de sa typologie psychologique. (Gilles Charlassier, Concertonet)
-Marie Kalinine est Margared, la malheureuse soeur qui, dévorée par la jalousie et la vengeance, sombre du « côté obscur » avant de se sacrifier dans un ultime geste de repentance. Le jeu est ici moins naturel que chez ses collègues, les médiums sont tout à fait stables [...], tandis que les graves donnent à entendre une belle teinte ambrée. (Elodie Martinez, Toute la culture)

LA WALLY
Opéra de Monte Carlo, dir. Maurizio Benini, m.sc. Cesare Lievi
janvier 2016
-Marie Kalinine est un luxe en Afra, cette rivale que la partition ne se donne guère le mal de développer. (Laurent Bury, Forumopéra)
-l’Afra efficace et infaillible de Marie Kalinine. (Bertrand Bolognesi, Anaclase)
Opéra de Monte Carlo, dir. Maurizio Benini, m.sc. Cesare Lievi
janvier 2016
-Marie Kalinine est un luxe en Afra, cette rivale que la partition ne se donne guère le mal de développer. (Laurent Bury, Forumopéra)
-l’Afra efficace et infaillible de Marie Kalinine. (Bertrand Bolognesi, Anaclase)

LA BELLE HELENE
Festival d'Etretat, dir. Philippe Hui, m.sc. Yves Coudray
août 2015
-Marie Kalinine est une Hélène fort drôle et sensuelle. Pastichant au début d’autres divas glamour un peu caricaturales habituées du rôle (on pense à Nicky Nancel en 1976 que la jeune cantatrice n’a pu connaître dans le rôle), elle passe rapidement après les charades à un jeu plus nettement féminin et naturel : la femme libre insatisfaite qui course les beaux garçons plus pour se désennuyer que pour vraiment tromper son époux. Marie Kalinine, dont il a souvent été dit dans ces colonnes l’excellence vocale et scénique, y est exceptionnelle d’intelligence, de finesse, d’autodérision et d’humour contrôlé. La voix est fort belle, souple et voluptueuse, exactement celle du rôle, et se joue avec brio des pièges de la partition. Bref, une Hélène de haut vol. (Jean-Marcel Humbert, Forumopéra)
Festival d'Etretat, dir. Philippe Hui, m.sc. Yves Coudray
août 2015
-Marie Kalinine est une Hélène fort drôle et sensuelle. Pastichant au début d’autres divas glamour un peu caricaturales habituées du rôle (on pense à Nicky Nancel en 1976 que la jeune cantatrice n’a pu connaître dans le rôle), elle passe rapidement après les charades à un jeu plus nettement féminin et naturel : la femme libre insatisfaite qui course les beaux garçons plus pour se désennuyer que pour vraiment tromper son époux. Marie Kalinine, dont il a souvent été dit dans ces colonnes l’excellence vocale et scénique, y est exceptionnelle d’intelligence, de finesse, d’autodérision et d’humour contrôlé. La voix est fort belle, souple et voluptueuse, exactement celle du rôle, et se joue avec brio des pièges de la partition. Bref, une Hélène de haut vol. (Jean-Marcel Humbert, Forumopéra)

WERTHER
Opéra de Saint Etienne, dir. Laurent Campellone, m. sc. Laurent Fréchuret
mars 2014
-En Charlotte, la mezzo française Marie Kalinine crève la scène. Aussi belle à regarder qu'à écouter, le velouté et la chaleur de sa voix, le frémissement intime de l'âme, l'élan de la passion, [...] font irrésistiblement penser à la regrettée Francine Arrauzo. [...] ...la volcanique Marie Kalinine. (Catherine Scholler, Opéra Magazine)
Opéra de Saint Etienne, dir. Laurent Campellone, m. sc. Laurent Fréchuret
mars 2014
-En Charlotte, la mezzo française Marie Kalinine crève la scène. Aussi belle à regarder qu'à écouter, le velouté et la chaleur de sa voix, le frémissement intime de l'âme, l'élan de la passion, [...] font irrésistiblement penser à la regrettée Francine Arrauzo. [...] ...la volcanique Marie Kalinine. (Catherine Scholler, Opéra Magazine)

CAVALLERIA RUSTICANA
Opéra Royal de Wallonie, dir. Paolo Arrivabeni, m. sc. José Cura
novembre/décembre 2012
-un tempérament féminin déjà remarqué par classiquenews: la mezzo Marie Kalinine, superbe chant engagé et ardent d'une force dramatique peu commune en dépit de son jeune âge et qui enflamme le personnage de Santuzza dans Cavalleria Rusticana. (classiquenews)
-Entre la Santuzza de Marie Kalinine et [...], le cœur balance en faveur de la première: voix plus séduisante, chant plus peaufiné, incarnation plus émouvante. (concertonet)
-...la bouleversante et extraordinaire Santuzza de Marie Kalinine (La Libre.be)
-Cura’s two leading ladies, perhaps inspired and carried away by his professionalism, matched his bravura interpretations with impressive characterizations of their own. As Santuzza, Marie Kalinine embodied all of the young woman’s pride and suffering; her robust, clear mezzo had an attractive vibrato and plenty of carrying power, so that her confrontation with Turiddu was a brilliant high point in Mascagni’s opera. (Das Opernglas)

RENAUD de Sacchini
Les Talens Lyriques, dir. Christophe Rousset.
19 octobre 2012 Opéra Royal de Versailles,
21 octobre 2012, Arsenal de Metz.
-"Je vous salue Marie Kalinine"
Une tragédienne, Christophe Rousset nous en avait déjà fait connaître une, en la personne de Véronique Gens, admirable surtout dans le pudique drapé des héroïnes nobles et malheureuses. Mais voilà qu’il en révèle une tout autre, faite pour les fureurs dépoitraillées des magiciennes outragées, pour les tragédies les plus noires et les plus barbares. Avec Marie Kalinine, le fondateur des Talens Lyriques nous offre une interprète à même de ressusciter réellement tout un répertoire qui a besoin de ces emportements. D’autres parleront peut-être d’histrionisme ou d’excès, ils auront tort : grâce à la jeune mezzo française, l’Armide imaginée par Sacchini égale ses illustres homonymes nées du génie de Lully, de Haendel, de Gluck ou de Rossini. Le dieu de la musique vomit les tièdes, lui aussi, et jamais l’on ne pourra accuser Marie Kalinine de tiédeur. La chanteuse se jette à corps perdus dans une partition qu’elle contribue en grande partie à faire revivre. Quelle étoffe, quelle richesse du timbre ! Quel sens de la déclamation, quel investissement dramatique ! Cet engagement farouche la place d’emblée aux côtés des plus grandes, et c’est désormais à elle qu’il faudra faire appel pour redonner toutes ces œuvres où le jeu théâtral était essentiel ; grâce à elle, nous pourrons goûter les splendeurs de ce que ses détracteurs appelaient l’urlo francese vont revivre, et les rôles où s’illustra la Valenciennoise Rosalie Levasseur vont connaître une nouvelle jeunesse. (Laurent Bury, Forumopéra)
-Affichant avec évidence l’abattage d’une Armide, Marie Kalinine – qui déjà chantait quelques extraits de l’ouvrage l’an dernier, sous la battue d’Hervé Niquet – possède sans conteste l’autorité naturelle du grand mezzo dramatique qu’elle est bel et bien. Ses moyens vocaux (riche couleur, impact généreux et puissance confortable) sont omniprésents avec bonheur. (Bertrand Bolognesi, Anaclase)
-Le traditionnel conflit entre la luxure et l’appel de la guerre se voit donc remplacé ici par celui que traverse la belle Armide, déchirée entre l’allégeance due à son père et à sa patrie, et les tendres sentiments qu’elle éprouve pour son ennemi. C’est dire que l’ouvrage repose entièrement sur la figure écrasante de la redoutable magicienne, dont la mezzo-soprano Marie Kalinine retrace avec beaucoup de talent et de vérité les troubles et les émois amoureux. […] la voix est solide et sûre, et l’expression souveraine et juste, dans le grand style français que l’on commence à redécouvrir. Sans doute une belle Cassandre en perspective ! L’air « Barbare amour ! Tyran des cœurs », au milieu du deuxième acte, aura en tout cas été le clou de la représentation. (Pierre Degott, Resmusica)
-Marie Kalinine dans le rôle principal, celui d’Armide, reine de Damas déchue, enchanteresse qui lutte contre les Croisés. La mezzo français a eu quelques éclats saisissants à l’Acte II avant de prendre totalement la (dé)mesure du personnage au dernier acte où elle s’est montrée magistrale de force et d’intelligence dramatique, voix libérée, verbe haut et incisif, humanité bouleversante. (Jérôme Pesqué, ODB opéra)
-Et surtout Marie Kalinine. Un volcan scénique, une tragédienne remarquable. avec une voix de mezzo ample et belle, très longue aussi avec des aigus d'une belle plénitude.[…] Marie Kalinine, si elle continue ainsi sera dans cinq ans Didon, Cassandre, Médée même, une grande tragédienne lyrique au sens plein. On souffrait avec elle, et cette Armide, cette enchanteresse là, méritait bien le bonheur que lui a réservé Sacchini (ODB Opéra)
-A Metz, après Versailles (19 octobre, Opéra Royal), Marie Kalinine enivre et séduit par son sens de l'incarnation, restituant à ce portrait de femme, sa démesure et son déséquilibre humains. Si parfois l'intelligibilité s'efface, l'intensité et la matière soyeuse de son chant restent toujours d'une belle étoffe musicale: jamais en force, toujours en audace. Et pour rompre ce torrent d'épreuves, d'angoisse, de sacrifice et de solitude parfois hallucinée. (Alexandre Pham, Classiquenews)
-Maria Kalinine, élève d’Eda-Pierre, se révèle une formidable Armide, amoureuse féroce plutôt que magicienne, variant à merveille les facettes dramatiques de son personnage : une incarnation de première envergure ! (Bruno Peeters, crescendo-magazine.be)
Les Talens Lyriques, dir. Christophe Rousset.
19 octobre 2012 Opéra Royal de Versailles,
21 octobre 2012, Arsenal de Metz.
-"Je vous salue Marie Kalinine"
Une tragédienne, Christophe Rousset nous en avait déjà fait connaître une, en la personne de Véronique Gens, admirable surtout dans le pudique drapé des héroïnes nobles et malheureuses. Mais voilà qu’il en révèle une tout autre, faite pour les fureurs dépoitraillées des magiciennes outragées, pour les tragédies les plus noires et les plus barbares. Avec Marie Kalinine, le fondateur des Talens Lyriques nous offre une interprète à même de ressusciter réellement tout un répertoire qui a besoin de ces emportements. D’autres parleront peut-être d’histrionisme ou d’excès, ils auront tort : grâce à la jeune mezzo française, l’Armide imaginée par Sacchini égale ses illustres homonymes nées du génie de Lully, de Haendel, de Gluck ou de Rossini. Le dieu de la musique vomit les tièdes, lui aussi, et jamais l’on ne pourra accuser Marie Kalinine de tiédeur. La chanteuse se jette à corps perdus dans une partition qu’elle contribue en grande partie à faire revivre. Quelle étoffe, quelle richesse du timbre ! Quel sens de la déclamation, quel investissement dramatique ! Cet engagement farouche la place d’emblée aux côtés des plus grandes, et c’est désormais à elle qu’il faudra faire appel pour redonner toutes ces œuvres où le jeu théâtral était essentiel ; grâce à elle, nous pourrons goûter les splendeurs de ce que ses détracteurs appelaient l’urlo francese vont revivre, et les rôles où s’illustra la Valenciennoise Rosalie Levasseur vont connaître une nouvelle jeunesse. (Laurent Bury, Forumopéra)
-Affichant avec évidence l’abattage d’une Armide, Marie Kalinine – qui déjà chantait quelques extraits de l’ouvrage l’an dernier, sous la battue d’Hervé Niquet – possède sans conteste l’autorité naturelle du grand mezzo dramatique qu’elle est bel et bien. Ses moyens vocaux (riche couleur, impact généreux et puissance confortable) sont omniprésents avec bonheur. (Bertrand Bolognesi, Anaclase)
-Le traditionnel conflit entre la luxure et l’appel de la guerre se voit donc remplacé ici par celui que traverse la belle Armide, déchirée entre l’allégeance due à son père et à sa patrie, et les tendres sentiments qu’elle éprouve pour son ennemi. C’est dire que l’ouvrage repose entièrement sur la figure écrasante de la redoutable magicienne, dont la mezzo-soprano Marie Kalinine retrace avec beaucoup de talent et de vérité les troubles et les émois amoureux. […] la voix est solide et sûre, et l’expression souveraine et juste, dans le grand style français que l’on commence à redécouvrir. Sans doute une belle Cassandre en perspective ! L’air « Barbare amour ! Tyran des cœurs », au milieu du deuxième acte, aura en tout cas été le clou de la représentation. (Pierre Degott, Resmusica)
-Marie Kalinine dans le rôle principal, celui d’Armide, reine de Damas déchue, enchanteresse qui lutte contre les Croisés. La mezzo français a eu quelques éclats saisissants à l’Acte II avant de prendre totalement la (dé)mesure du personnage au dernier acte où elle s’est montrée magistrale de force et d’intelligence dramatique, voix libérée, verbe haut et incisif, humanité bouleversante. (Jérôme Pesqué, ODB opéra)
-Et surtout Marie Kalinine. Un volcan scénique, une tragédienne remarquable. avec une voix de mezzo ample et belle, très longue aussi avec des aigus d'une belle plénitude.[…] Marie Kalinine, si elle continue ainsi sera dans cinq ans Didon, Cassandre, Médée même, une grande tragédienne lyrique au sens plein. On souffrait avec elle, et cette Armide, cette enchanteresse là, méritait bien le bonheur que lui a réservé Sacchini (ODB Opéra)
-A Metz, après Versailles (19 octobre, Opéra Royal), Marie Kalinine enivre et séduit par son sens de l'incarnation, restituant à ce portrait de femme, sa démesure et son déséquilibre humains. Si parfois l'intelligibilité s'efface, l'intensité et la matière soyeuse de son chant restent toujours d'une belle étoffe musicale: jamais en force, toujours en audace. Et pour rompre ce torrent d'épreuves, d'angoisse, de sacrifice et de solitude parfois hallucinée. (Alexandre Pham, Classiquenews)
-Maria Kalinine, élève d’Eda-Pierre, se révèle une formidable Armide, amoureuse féroce plutôt que magicienne, variant à merveille les facettes dramatiques de son personnage : une incarnation de première envergure ! (Bruno Peeters, crescendo-magazine.be)

LA TOISON D'OR – VOGEL
Le Concert Spirituel, dir. Hervé Niquet
Opéra de Nüremberg
26 juillet 2012
-Les trois principaux rôles sont parfaitement défendus: Marie Kalinine déjà remarquée dans la haine criminelle et barbare (cantate Médée de Georges Hue, autre programme présenté par le Palazzetto Bru Zane) sait articuler un texte éloquent, menaçant, débordant, murmurant aussi: trouvant la juste couleur qui nuance le portrait de la magicienne trahie qui est aussi une femme douloureuse: une amertume sombre et grave se dévoile peu à peu en particulier dans son dernier récit accompagné, avant le final ("Va, laisse-moi remplir ma noire destinée..."). (Classiquenews)
CANTATES DU PRIX DE ROME : MEDEE de Georges Hüe
Venise
4 février 2012
Saluons la justesse du plateau vocal: Marie Kalinine, ailleurs Carmen reconnue, sait moirer la sombre couleur de Medée, d'une lave ténébreuse. (Classiquenews)
Le Concert Spirituel, dir. Hervé Niquet
Opéra de Nüremberg
26 juillet 2012
-Les trois principaux rôles sont parfaitement défendus: Marie Kalinine déjà remarquée dans la haine criminelle et barbare (cantate Médée de Georges Hue, autre programme présenté par le Palazzetto Bru Zane) sait articuler un texte éloquent, menaçant, débordant, murmurant aussi: trouvant la juste couleur qui nuance le portrait de la magicienne trahie qui est aussi une femme douloureuse: une amertume sombre et grave se dévoile peu à peu en particulier dans son dernier récit accompagné, avant le final ("Va, laisse-moi remplir ma noire destinée..."). (Classiquenews)
CANTATES DU PRIX DE ROME : MEDEE de Georges Hüe
Venise
4 février 2012
Saluons la justesse du plateau vocal: Marie Kalinine, ailleurs Carmen reconnue, sait moirer la sombre couleur de Medée, d'une lave ténébreuse. (Classiquenews)

LA NAVARRAISE, Massenet / CAVALLERIA RUSTICANA, Mascagni
dir. Laurent Campellone, m. sc. Jean-Louis Grinda / Vincent Vittoz
Opéra-Théâtre de Saint-Etienne, novembre 2011
-Autant dire qu'il faut un sacré caractère à l'interprète (d'Anita) ! La jeune soprano (sic) française Marie Kalinine assume vaillamment ce rôle. Visage expressif et corps agile, elle est la vedette incontestée de ce drame à la Zola [...] En miroir, le célèbre Cavalleria Rusticana [...] ...là encore, Santuzza, l'héroïne, ne s'en laisse pas conter par les hommes, provoquant par dépit l'assassinat de son amant... Marie Kalinine s'y révèle parfaite et sensible. (Franck Mallet, Classica, décembre 2011-janvier 2012)
-La distribution est dominée, écrasée presque, par la performance de Marie Kalinine en Anita et Santuzza. Avec un vrai physique de théâtre et une présence scénique intense, jusque dans de bouleversantes expressions du visage, la jeune mezzo française franchit, avec courage, les écueils de deux rôles meurtriers qu'aucune de ses consoeurs n'aurait, sans doute, accepté d'enchaîner.[...] Un avenir prometteur s'ouvre devant Marie Kalinine [...] (Richard Martet, Opéra Magazine, décembre 2011)
-Marie Kalinine, touchante et juste[...]
Belle prestation de Marie Kalinine. La jeune soprano française charge son esquif avec deux rôles principaux très lourds (Anita chez Massenet, Santuzza chez Mascagni) mais les incarne avec une belle tenue vocale. On est touché par sa présence dramatique et son beau visage à la Anna Magnani.[...](Renaud Machart, LE MONDE, 05.11.11)
-"Kalinineria Espaňola"
[...]La critique française avait alors qualifié La Navarraise de « Cavalleria espaňola » ou même de « Calvelleria », et l’on pourrait parler ici de « Kalinineria », tant la jeune mezzo française Marie Kalinine porte le spectacle sur ses épaules, on y reviendra.[...]
Bien que souffrante, Marie Kalinine est impressionnante en Navarraise, où elle passe sans heurts du parlé au chanté – une interprète francophone s’impose ici –, dans un rôle difficile où il est toujours délicat d’éviter les effets mélodramatiques. En Santuzza, présente sur la scène du début à la fin de l’œuvre, elle offre notamment une sublime introduction au chœur « Inneggiamo, il Signor non è morto ». La voix est belle, la diction est claire, l’actrice convaincante.[...] (Laurent Bury, Forum Opéra)
-[...]Révélation de ce spectacle, la jeune soprano française Marie Kalinine (Anita) se donne sans réserve - l’éprouvant rôle de Santuzza l'attend pourtant en seconde partie de soirée ! – et assume la métamorphose de son personnage d’une saisissante manière.[...]
La soirée commence et Cavalleria rusticana ne fera que confirmer ces excellentes impressions de départ en seconde partie. [...]
A nouveau, Marie Kalinine brûle les planches et l’ancienne élève de Christiane Eda-Pierre donne la mesure de moyens et d’un tempérament dont on entendra sûrement reparler bientôt (1). [...]
(1)La vie de chanteuse est pleine de rebondissements et de surprises dont le crayon de Marie Kalinine se fait l’écho sur un blog plein de d’humour : http://chanteusedopera.blogspot.com (Alain Cochard, Concertclassic)
-[...]En premier lieu Marie Kalinine est une Anita de très belle tenue : joli timbre, très beau phrasé, voix homogène sur toute la tessiture du rôle. Ses talents de comédienne lui permettent de camper un personnage fort et attachant. Cette jeune et belle artiste ne devrait pas tarder à bénéficier d'une notorièté à la mesure de ses qualités. [...]
Après Anita, Marie Kalinine fait une prise de rôle convaincante dans Santuzza. On retrouve les qualités de timbre et de phrasé évoquées précédemment. Grâce à une grande intelligence musicale qui la conduit à ne jamais forcer sa voix et à son investissement scènique, elle incarne une Santuzza émouvante, déchirée par la passion et la jalousie. [...] (Gérard Ferrand, ODB Opéra)
dir. Laurent Campellone, m. sc. Jean-Louis Grinda / Vincent Vittoz
Opéra-Théâtre de Saint-Etienne, novembre 2011
-Autant dire qu'il faut un sacré caractère à l'interprète (d'Anita) ! La jeune soprano (sic) française Marie Kalinine assume vaillamment ce rôle. Visage expressif et corps agile, elle est la vedette incontestée de ce drame à la Zola [...] En miroir, le célèbre Cavalleria Rusticana [...] ...là encore, Santuzza, l'héroïne, ne s'en laisse pas conter par les hommes, provoquant par dépit l'assassinat de son amant... Marie Kalinine s'y révèle parfaite et sensible. (Franck Mallet, Classica, décembre 2011-janvier 2012)
-La distribution est dominée, écrasée presque, par la performance de Marie Kalinine en Anita et Santuzza. Avec un vrai physique de théâtre et une présence scénique intense, jusque dans de bouleversantes expressions du visage, la jeune mezzo française franchit, avec courage, les écueils de deux rôles meurtriers qu'aucune de ses consoeurs n'aurait, sans doute, accepté d'enchaîner.[...] Un avenir prometteur s'ouvre devant Marie Kalinine [...] (Richard Martet, Opéra Magazine, décembre 2011)
-Marie Kalinine, touchante et juste[...]
Belle prestation de Marie Kalinine. La jeune soprano française charge son esquif avec deux rôles principaux très lourds (Anita chez Massenet, Santuzza chez Mascagni) mais les incarne avec une belle tenue vocale. On est touché par sa présence dramatique et son beau visage à la Anna Magnani.[...](Renaud Machart, LE MONDE, 05.11.11)
-"Kalinineria Espaňola"
[...]La critique française avait alors qualifié La Navarraise de « Cavalleria espaňola » ou même de « Calvelleria », et l’on pourrait parler ici de « Kalinineria », tant la jeune mezzo française Marie Kalinine porte le spectacle sur ses épaules, on y reviendra.[...]
Bien que souffrante, Marie Kalinine est impressionnante en Navarraise, où elle passe sans heurts du parlé au chanté – une interprète francophone s’impose ici –, dans un rôle difficile où il est toujours délicat d’éviter les effets mélodramatiques. En Santuzza, présente sur la scène du début à la fin de l’œuvre, elle offre notamment une sublime introduction au chœur « Inneggiamo, il Signor non è morto ». La voix est belle, la diction est claire, l’actrice convaincante.[...] (Laurent Bury, Forum Opéra)
-[...]Révélation de ce spectacle, la jeune soprano française Marie Kalinine (Anita) se donne sans réserve - l’éprouvant rôle de Santuzza l'attend pourtant en seconde partie de soirée ! – et assume la métamorphose de son personnage d’une saisissante manière.[...]
La soirée commence et Cavalleria rusticana ne fera que confirmer ces excellentes impressions de départ en seconde partie. [...]
A nouveau, Marie Kalinine brûle les planches et l’ancienne élève de Christiane Eda-Pierre donne la mesure de moyens et d’un tempérament dont on entendra sûrement reparler bientôt (1). [...]
(1)La vie de chanteuse est pleine de rebondissements et de surprises dont le crayon de Marie Kalinine se fait l’écho sur un blog plein de d’humour : http://chanteusedopera.blogspot.com (Alain Cochard, Concertclassic)
-[...]En premier lieu Marie Kalinine est une Anita de très belle tenue : joli timbre, très beau phrasé, voix homogène sur toute la tessiture du rôle. Ses talents de comédienne lui permettent de camper un personnage fort et attachant. Cette jeune et belle artiste ne devrait pas tarder à bénéficier d'une notorièté à la mesure de ses qualités. [...]
Après Anita, Marie Kalinine fait une prise de rôle convaincante dans Santuzza. On retrouve les qualités de timbre et de phrasé évoquées précédemment. Grâce à une grande intelligence musicale qui la conduit à ne jamais forcer sa voix et à son investissement scènique, elle incarne une Santuzza émouvante, déchirée par la passion et la jalousie. [...] (Gérard Ferrand, ODB Opéra)

RENAUD, Sacchini
dir. Hervé Niquet
Opéra Royal de Versailles, octobre 2011
-[...]Cet opéra fait la part belle à l’héroïne, Armide. C’est le mezzo-soprano Marie Kalinine, au timbre somptueux et au caractère bien affirmé, qui l’interprète avec tempérament. Cette jeune chanteuse est une Armide royale. [...] (Monique Parmentier, Anaclase)
-[...]c’est Marie Kalinine qui incarnait la princesse guerrière. Très beau timbre, très prenant, superbe ligne de chant [...] (Philippe Houbert, ClassiqueInfo)
De Saint-Sulpice à la Madeleine: motets romantiques français. dir. Hervé Niquet
Venise. Basilique des Frari, mai 2011.
-[...]solistes de premier plan: la mezzo Marie Kalinine, au timbre ample, d'une couleur assurément slave (vibrato et opulence du timbre à l'appui) qui s'accorde idéalement à la harpe, au violoncelle [...] (Alexandre Pham, Classiquenews)
dir. Hervé Niquet
Opéra Royal de Versailles, octobre 2011
-[...]Cet opéra fait la part belle à l’héroïne, Armide. C’est le mezzo-soprano Marie Kalinine, au timbre somptueux et au caractère bien affirmé, qui l’interprète avec tempérament. Cette jeune chanteuse est une Armide royale. [...] (Monique Parmentier, Anaclase)
-[...]c’est Marie Kalinine qui incarnait la princesse guerrière. Très beau timbre, très prenant, superbe ligne de chant [...] (Philippe Houbert, ClassiqueInfo)
De Saint-Sulpice à la Madeleine: motets romantiques français. dir. Hervé Niquet
Venise. Basilique des Frari, mai 2011.
-[...]solistes de premier plan: la mezzo Marie Kalinine, au timbre ample, d'une couleur assurément slave (vibrato et opulence du timbre à l'appui) qui s'accorde idéalement à la harpe, au violoncelle [...] (Alexandre Pham, Classiquenews)

CARMEN, Bizet
dir. Massimo Donadello, m. sc. Emilio sagi
Opéra Royal de Wallonie, décembre 2010
-[...]Marie Kalinine est une Carmen toute de fierté et de passion, à la silhouette fine et sensuelle. Elle lance ses grands airs avec aplomb, d'une voix chaude et sombre qui convient idéalement au personnage.[...]
(Bruno Villien, OPERA MAGAZINE, février 2011)
-[...]la jeune Marie Kalinine est une très belle Carmen, bien chantante, assumant la tessiture sans efforts, et proposant une incarnation scénique très séduisante.[...]
(Richard Letawe, ClassiqueInfo)
dir. Massimo Donadello, m. sc. Emilio sagi
Opéra Royal de Wallonie, décembre 2010
-[...]Marie Kalinine est une Carmen toute de fierté et de passion, à la silhouette fine et sensuelle. Elle lance ses grands airs avec aplomb, d'une voix chaude et sombre qui convient idéalement au personnage.[...]
(Bruno Villien, OPERA MAGAZINE, février 2011)
-[...]la jeune Marie Kalinine est une très belle Carmen, bien chantante, assumant la tessiture sans efforts, et proposant une incarnation scénique très séduisante.[...]
(Richard Letawe, ClassiqueInfo)

ORPHEE AUX ENFERS, Offenbach
dir. Alain Altinoglu, m. sc. Yves Beaunesne
Festival d'Aix-en-Provence, juillet 2009
"...c'est Marie Kalinine (Vénus) qui fait entendre le timbre le plus riche" (Isabelle Stibbe - Anaclase )
Festival "C'est pas classique"
dir. Philippe Bender
Acropolis de Nice, décembre 2008
« …voix magnifique… absolument remarquable dans J’ai perdu mon Eurydice » (José Pons, OPERA MAGAZINE)
dir. Alain Altinoglu, m. sc. Yves Beaunesne
Festival d'Aix-en-Provence, juillet 2009
"...c'est Marie Kalinine (Vénus) qui fait entendre le timbre le plus riche" (Isabelle Stibbe - Anaclase )
Festival "C'est pas classique"
dir. Philippe Bender
Acropolis de Nice, décembre 2008
« …voix magnifique… absolument remarquable dans J’ai perdu mon Eurydice » (José Pons, OPERA MAGAZINE)

CARMEN, Bizet
dir. Jacques Chalmeau, m. sc. Paul-Emile Fourny
Festival de Lacoste, juillet 2007
"La révélation de ce cru 2007 est incontestablement la mezzo-soprano Marie Kalinine qui, pour ses débuts dans le rôle-titre, impose une couleur de voix chaleureuse, un style surveillé et un somptueux physique de théâtre, idéalement adapté au personnage. Remarquable comédienne [...]"
(Richard Martet - OPERA MAGAZINE - septembre 2007)

MADAMA BUTTERFLY, Puccini
dir. Dominique Trottein, m. sc. Didier Brunel
Opéra de Besançon, mai 2007
"...la très belle participation de la mezzo-soprano Marie Kalinine (Suzuki) dont la voix brune et l’extrême musicalité servent admirablement le rôle de la servante prévenante de Cio-Cio-San."
(Jacques Schmitt - Resmusica)